Elevage durable et volaille francaise pour une meilleure alimentation.

Au menu des améliorations qui doivent permettre une meilleure santé et un plus grand respect des valeurs environnementales, un ensemble de démarches ont été entreprises afin de faire progresser la filière de l’élevage de volailles en France. Ces démarches ne sont pas incompatibles avec une croissance économique solide et s’orientent aussi vers une diversification des produits, allant au-delà de l’exploitation initiale de la filière. C’est ce que nous vous proposer d’aborder aujourd’hui.

La qualité de l’alimentation passe par la qualité de l’élevage.

Quand on cherche l’exemple des principes qui peuvent être déployés pour s’inscrire dans une production alimentaire plus vertueuse, on peut observer par exemple un élevage volaille du groupe ldc

Au sein d’un groupe leader sur son marché, on trouve une volonté et une feuille de route qui fixent la manière dont la soutenabilité de l’activité est recherchée dans toutes ses formes d’expression.  

Le respect de l’environnement

La filière de l’élevage et notamment celui des volailles peut apporter sa pierre à l’édifice de la considération écologique, en mettant en œuvre les bonnes pratiques liées à l’économie de l’eau et à la valorisation des déchets. Cela se traduit, au quotidien, par une utilisation raisonnée des ressources disponibles afin d’éviter les gaspillages. C’est bien l’animal qui reste le principal bénéficiaire de ces ressources. De la même manière, un mouvement a été enclenché pour un engagement en faveur d’une absence de déforestation en lien avec la filière et particulièrement la culture des céréales produites pour nourrir les animaux. Cela passe aussi par la réduction du volet transport grâce à des volailles nées, élevées et préparées en France, pour une relocalisation complète de la filière.

Le bien-être de l’animal avant tout

68 % des éleveurs appartiennent au programme Nature d’Éleveurs, qui favorise et valorise une intégration forte du bien-être des volailles. Cela passe, par exemple, par une alimentation en céréales 100% française. Mais cela passe aussi par des conditions d’élevage qui accentuent le respect des animaux avec des couvoirs et des bâtiments qui offrent une plus grande luminosité naturelle, des perchoirs et des substrats à picorer privilégiant les comportements naturels des volailles, une plus grande liberté permise par une densité moins forte de la population dans l’élevage, la suppression des cages, un nettoyage et une préservation de la propreté du sol et de l’air garantissant la meilleure santé des animaux.

L’amélioration de l’alimentation comme objectif final

In fine, ce sont l’alimentation et les consommateurs qui doivent pouvoir bénéficier de ces démarches et engagements. Et cela portent déjà ses fruits. Avec 93 % des produits LDC dont le Nutriscore est A, B ou C, on peut prendre la mesure de l’impact de la politique environnementale sur les produits préparés. Cette meilleure qualité de l’alimentation doit avoir des répercutions automatiques sur la santé des consommateurs, moins exposés ou soustraits à un ensemble d’agents et additifs. L’évolution de l’alimentation se traduit aussi par un nouvel axe végétal. S’adaptant à la demande du marché qui cherche à faire varier ses modes de consommation, un ensemble de produits alternatifs à la viande animale sont aujourd’hui proposés. 

C’est l’ensemble des orientations prises par ceux qui font cette filière, qui permet d’envisager un avenir aux aspects plus durables et respectueux des animaux élevés.